| Titre : |
Vers la sobriété heureuse |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Pierre Rabhi, Auteur |
| Editeur : |
Actes Sud |
| Année : |
2013 |
| Collection : |
Babel |
| Description : |
1 vol. (165 p.) |
| Présentation : |
couv. ill. en coul. |
| Format : |
18 cm |
| ISBN/ISSN : |
978-2-330-02659-2 |
| Prix : |
6.70€ |
| Langues : |
Français (fre) |
| Résumé : |
Pierre Rabhi a vingt ans à la fin des années 1950, lorsqu'il décide de se soustraire, par un retour à la terre, à la civilisation hors sol qu'ont commencé à dessiner sous ses yeux ce que l'on nommera plus tard les Trente Glorieuses. En France, il contemple un triste spectacle : aux champs comme à l'usine, l'homme est invité à accepter une forme d'anéantissement personnel à seule fin que tourne la machine économique. L'économie ? Au lieu de gérer et répartir les ressources communes à l'humanité en déployant une vision à long terme, elle s'est contentée, dans sa recherche de croissance illimitée, d'élever la prédation au rang de science. Le lien viscéral avec la nature est rompu ; cette dernière n'est plus qu'un gisement de ressources à exploiter - et à épuiser. Au fil des expériences, une évidence s'impose : seul le choix de la modération de nos besoins et désirs, le choix d'une sobriété libératrice et volontairement consentie, permettra de rompre avec cet ordre anthropophage appelé "mondialisation". |
Vers la sobriété heureuse [texte imprimé] / Pierre Rabhi, Auteur . - Actes Sud, 2013 . - 1 vol. (165 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - ( Babel) . ISBN : 978-2-330-02659-2 : 6.70€ Langues : Français ( fre)
| Résumé : |
Pierre Rabhi a vingt ans à la fin des années 1950, lorsqu'il décide de se soustraire, par un retour à la terre, à la civilisation hors sol qu'ont commencé à dessiner sous ses yeux ce que l'on nommera plus tard les Trente Glorieuses. En France, il contemple un triste spectacle : aux champs comme à l'usine, l'homme est invité à accepter une forme d'anéantissement personnel à seule fin que tourne la machine économique. L'économie ? Au lieu de gérer et répartir les ressources communes à l'humanité en déployant une vision à long terme, elle s'est contentée, dans sa recherche de croissance illimitée, d'élever la prédation au rang de science. Le lien viscéral avec la nature est rompu ; cette dernière n'est plus qu'un gisement de ressources à exploiter - et à épuiser. Au fil des expériences, une évidence s'impose : seul le choix de la modération de nos besoins et désirs, le choix d'une sobriété libératrice et volontairement consentie, permettra de rompre avec cet ordre anthropophage appelé "mondialisation". |
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